Bon, il faut le dire, j'ai pas mal galéré pour l'installer.
Ce qui a marché pour moi :
1/ sudo apt-get install phpmyadmin
Toutes les dépendances vont s'installer donc apache et tout le reste si ce n'était pas déjà installé
2/ Dans votre navigateur web, tapez http://localhost/phpmyadmin".
3/ Pour véritfier qu'il n'y a pas d'erreur avec apache, faites un
sudo /etc/init.d/apache2 restart.
Si vous obtenez une erreur du genre "could not reliably determine the server’s fully qualified domain name, using 127.0.1.1 for ServerName" alors essayez ceci :
sudo nano /etc/apache2/apache2.conf
Placez vous à la fin de votre fichier et rajoutez ces lignes :
#empecher le "could not reliably determine the server’s fully qualified domain name, using 127.0.1.1 for ServerName
ServerName localhost
La première ligne est un commentaire, c'est pour vous en souvenir. N'oubliez donc pas le #.
Appuyez sur CTRL+X pour fermer le document et sur O pour l'enregistrer.
4/ Redémarrez apache
sudo /etc/init/d/apache 2 restart
Et tentez de vous rendre ici : http://localhost/phpmyadmin/
Si vous n'y arrivez pas :
sudo dpkg-reconfigure -plow phpmyadmin
Choisissez apache si on vous demande.
Puis faites
sudo ln -s /etc/phpmyadmin/apache.conf /etc/apache2/conf.d/phpmyadmin.conf
Et enfin
sudo /etc/init.d/apache2 reload
5/ Retentez d'aller ici : http://localhost/phpmyadmin/
FINI !
Ca marche ?
26 juin 2010
24 juin 2010
Dossier partagé virtualbox ubuntu - windows
Je me lance dans la rédaction d'un mini tuto sur virtualbox sur Ubuntu (ici LTS 10.04) qui s'adresse aux noobs débutants de ma catégorie.
Tout d'abord, si vous n'arrivez pas à installer virtualbox, rendez-vous :
- sur le site d'ubuntu pour une introduction brève.
- pour sa démonstration en image
Passons aux choses sérieuses. Virtualbox est installé est "Ô rage Ô désespoir" vous ne pouvez pas faire grand chose dessus.Vous ne pourrez pas accéder à votre home... C'est moche hein ? Bon bendébrouillez-vous je vais tenter de vous aider :) (elle est gentille la mère geekie...)
Cette astuce a été testée avec Virtualbox PUEL sur Ubuntu 10.04 avec comme système guest Windows XP
1/ Lancer Virtualbox (Applications --> Outils système --> Oracle VM VirtualBox)
2/ Dans la fenetre de votre OS, en haut de l'écran vous verrez un menu avec écrit "Machine Périphériques Aide" . Allez dans périphériques et sélectionnez "Installez les additions invitées".
Cela vous permettra entre autres de ne plus jongler avec la touche CTRL droite du clavier pour gérer la souris, vous pourrez passer en plein écran ...
Installez ce qu'on vous demande.
3/ Dans ubuntu, créez un dossier du nom que vous voulez, par exemple home/geekie/partageWindowsLinux ou sélectionnez-en un à partager. Faites un clic droit --> propriétés et cochez la case "Partager ce dossier".
Vous pouvez laisser le nom du partage par défaut, ou pas MAIS IL EST OBLIGATOIRE!
Pensez aussi à cocher la case : "permettre aux autres utilisateurs de modifier ce dossier"
4/ Dans VirtualBox, faites un clic droit sur votre OS --> configuration.
Descendez dans les dossiers partagés et appuyez le petit "+" à droite. Sélectionnez le dossier que vous venez de créer / configurer à l'épate 3.
5/ Relancez windows, et ouvrez un explorateur (par exemple en cliquant sur mes documents, poste de travail etc). Allez dans outils (en haut dans le menu de la fenetre) --> connecter un lecteur réseau.
Une fenêtre s'ouvre. Choisisez une lettre pour votre lecteur, de préférence élevée.
Cliquez ensuite sur parcourir pour sélectionner le dossier. Celui-ci se trouve dans VirtualBox Shared Folders puis dans "vboxsvr". Terminez la procédure.
C'est FINI !!!
Alors, ca marche ?
Tout d'abord, si vous n'arrivez pas à installer virtualbox, rendez-vous :
- sur le site d'ubuntu pour une introduction brève.
- pour sa démonstration en image
Passons aux choses sérieuses. Virtualbox est installé est "Ô rage Ô désespoir" vous ne pouvez pas faire grand chose dessus.Vous ne pourrez pas accéder à votre home... C'est moche hein ? Bon ben
Cette astuce a été testée avec Virtualbox PUEL sur Ubuntu 10.04 avec comme système guest Windows XP
1/ Lancer Virtualbox (Applications --> Outils système --> Oracle VM VirtualBox)
2/ Dans la fenetre de votre OS, en haut de l'écran vous verrez un menu avec écrit "Machine Périphériques Aide" . Allez dans périphériques et sélectionnez "Installez les additions invitées".
Cela vous permettra entre autres de ne plus jongler avec la touche CTRL droite du clavier pour gérer la souris, vous pourrez passer en plein écran ...
Installez ce qu'on vous demande.
3/ Dans ubuntu, créez un dossier du nom que vous voulez, par exemple home/geekie/partageWindowsLinux ou sélectionnez-en un à partager. Faites un clic droit --> propriétés et cochez la case "Partager ce dossier".
Vous pouvez laisser le nom du partage par défaut, ou pas MAIS IL EST OBLIGATOIRE!
Pensez aussi à cocher la case : "permettre aux autres utilisateurs de modifier ce dossier"
4/ Dans VirtualBox, faites un clic droit sur votre OS --> configuration.
Descendez dans les dossiers partagés et appuyez le petit "+" à droite. Sélectionnez le dossier que vous venez de créer / configurer à l'épate 3.
5/ Relancez windows, et ouvrez un explorateur (par exemple en cliquant sur mes documents, poste de travail etc). Allez dans outils (en haut dans le menu de la fenetre) --> connecter un lecteur réseau.
Une fenêtre s'ouvre. Choisisez une lettre pour votre lecteur, de préférence élevée.
Cliquez ensuite sur parcourir pour sélectionner le dossier. Celui-ci se trouve dans VirtualBox Shared Folders puis dans "vboxsvr". Terminez la procédure.
C'est FINI !!!
Alors, ca marche ?
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17 juin 2010
L'Absente

Deux heures du matin. Tu as les yeux rivés sur les symboles rouges projetés au plafond, et tu attends. Tu les vois s'animer de temps à autres, sans vraiment les remarquer n'est-ce pas ? Ça bouge.
" Ça a bougé !
- Je sais"
Quelque chose a bougé, au plafond, mais tu ne peux dire quoi, ni où exactement. Tu t'en moques. Il n'est pas encore temps, tu n'as pas encore trouvé. Mais que vas-tu trouver cette fois ? Cherches-tu seulement quelque chose pour adopter telle attitude ?
Recroquevillée sur tes pensées comme un fœtus l'est sur lui-même, tu sembles en pleine introspection, ou méditer, ou attendre quelque chose. Ce qui est sûr, c'est que tu n'es plus vraiment là. L'Absente. Voilà qui tu seras à partir de maintenant, mais tu ne le sais pas, pas encore.
Ce doit bien faire 3 heures que tu es là, allongée sur ce lit, tranquille et immobile. Ton regard déterminé toujours fixé sur le plafond, au même endroit. Soutenir du regard : jamais de tels mots n'avaient eu autant de sens : tu le soutiens, maintiens le plafond au-dessus de toi par ce regard. En cet instant, c'est le monde entier qui tient et à pend à ton regard peut-être justement, parce que tu ne vois rien, parce qu'il n'existe plus le monde pour toi.
Tes muscles se tendent à mesure que le temps s'écoule. Il devient pesant, lourd, ce temps. Aucun carillon, aucune horloge, aucun balancier présent pour le marquer d'une empreinte sonore dans l'air. Alors il se fait sentir. Il résonne et vibre dans ta tête. Le temps qui passe, on le sent, on le ressent, on le pressent. Il s'incarne dans ce battement incessant sur ta tempe. Tout ta conscience est dorénavant dirigée sur ce battement. Ça cogne.
"Ça a cogné.
- Je sais"
Quelque chose cogne, dans ma tête.Doucement, j'ai l'impression de sortir de ma léthargie. J'ai été absente je crois. Je reviens vite à moi, rappelée à cette triste réalité par une vive douleur dans mon estomac qui se met à crier. Je me recroqueville comme un fœtus et souffre tellement que la mort me semble proche. Je crois entr'apercevoir sa froideur dans mes tripes tétanisées. On peut mourir comme ca ? À 20 ans ? Tout ce désespoir et cette solitude prendrait fin au moins. Comme me l'a dit un ami "On naît seul, on vit seul, on meurt seul." Et... Je suis seule...
Les chiffres sur le plafond sont d'un rouge qui me rappellent le sang et me mettent pour la première fois mal à l'aise. Ils se dandinent comme s'ils jouaient à un deux trois soleil. Ça bouge. Ça bouge plus. Le temps de les regarder et ils ne bougent plus. Et c'est long quand ça bouge plus. J'ai l'impression de me battre avec eux pour les faire bouger. Une fois de plus. Non, je ne mourrai pas.
Je me relève un court instant et je jette un œil par la fenêtre. Petit à petit, les lumières de la ville se sont éteintes, et l'on n'arrive maintenant qu'à peine à discerner les formes à travers cette petite fenêtre qui surplombe mon lit. Me recouchant, je me sens pourtant comme apaisée
" …
- Je sais.
- Mais, je n'ai encore rien dit.
- Tu allais dire qu'il faudrait que je me couche. Je te réponds qu'il faut que tu écoutes. Écoute !
- Je ne suis pas sûr tu sais, avec le bruit de la rue qui me perturbe. Je ne suis même pas sûr de ce que tu attends. Si tu penses à c eque je pense, tu m'as menti tu av...
- Chuuuuuut ! Écoute" murmurai-je...
De la lumière sortit de cette meurtrière donnant sur la petite cour. On pouvait de nouveau distinguer le balcon des voisins, et tu te rappelais alors "ces quartiers italiens dont il t'avait tant parlé. Tu rêvais de les voir, un jour. En attendant, cette lumière t'intriguait et tu semblais avoir de moins en moins d'influence sur ce quartz. Du bruit se fit entendre dans les escaliers, puis à la porte. Déjà debout, tu attendais. A peine entendit-on frapper que tu entrebâillais cette porte en demandant, spontanément et avec détermination :
"Avec qui as-tu couché ?"
" Ça a bougé !
- Je sais"
Quelque chose a bougé, au plafond, mais tu ne peux dire quoi, ni où exactement. Tu t'en moques. Il n'est pas encore temps, tu n'as pas encore trouvé. Mais que vas-tu trouver cette fois ? Cherches-tu seulement quelque chose pour adopter telle attitude ?
Recroquevillée sur tes pensées comme un fœtus l'est sur lui-même, tu sembles en pleine introspection, ou méditer, ou attendre quelque chose. Ce qui est sûr, c'est que tu n'es plus vraiment là. L'Absente. Voilà qui tu seras à partir de maintenant, mais tu ne le sais pas, pas encore.
Ce doit bien faire 3 heures que tu es là, allongée sur ce lit, tranquille et immobile. Ton regard déterminé toujours fixé sur le plafond, au même endroit. Soutenir du regard : jamais de tels mots n'avaient eu autant de sens : tu le soutiens, maintiens le plafond au-dessus de toi par ce regard. En cet instant, c'est le monde entier qui tient et à pend à ton regard peut-être justement, parce que tu ne vois rien, parce qu'il n'existe plus le monde pour toi.
Tes muscles se tendent à mesure que le temps s'écoule. Il devient pesant, lourd, ce temps. Aucun carillon, aucune horloge, aucun balancier présent pour le marquer d'une empreinte sonore dans l'air. Alors il se fait sentir. Il résonne et vibre dans ta tête. Le temps qui passe, on le sent, on le ressent, on le pressent. Il s'incarne dans ce battement incessant sur ta tempe. Tout ta conscience est dorénavant dirigée sur ce battement. Ça cogne.
"Ça a cogné.
- Je sais"
Quelque chose cogne, dans ma tête.Doucement, j'ai l'impression de sortir de ma léthargie. J'ai été absente je crois. Je reviens vite à moi, rappelée à cette triste réalité par une vive douleur dans mon estomac qui se met à crier. Je me recroqueville comme un fœtus et souffre tellement que la mort me semble proche. Je crois entr'apercevoir sa froideur dans mes tripes tétanisées. On peut mourir comme ca ? À 20 ans ? Tout ce désespoir et cette solitude prendrait fin au moins. Comme me l'a dit un ami "On naît seul, on vit seul, on meurt seul." Et... Je suis seule...
Les chiffres sur le plafond sont d'un rouge qui me rappellent le sang et me mettent pour la première fois mal à l'aise. Ils se dandinent comme s'ils jouaient à un deux trois soleil. Ça bouge. Ça bouge plus. Le temps de les regarder et ils ne bougent plus. Et c'est long quand ça bouge plus. J'ai l'impression de me battre avec eux pour les faire bouger. Une fois de plus. Non, je ne mourrai pas.
Je me relève un court instant et je jette un œil par la fenêtre. Petit à petit, les lumières de la ville se sont éteintes, et l'on n'arrive maintenant qu'à peine à discerner les formes à travers cette petite fenêtre qui surplombe mon lit. Me recouchant, je me sens pourtant comme apaisée
" …
- Je sais.
- Mais, je n'ai encore rien dit.
- Tu allais dire qu'il faudrait que je me couche. Je te réponds qu'il faut que tu écoutes. Écoute !
- Je ne suis pas sûr tu sais, avec le bruit de la rue qui me perturbe. Je ne suis même pas sûr de ce que tu attends. Si tu penses à c eque je pense, tu m'as menti tu av...
- Chuuuuuut ! Écoute" murmurai-je...
De la lumière sortit de cette meurtrière donnant sur la petite cour. On pouvait de nouveau distinguer le balcon des voisins, et tu te rappelais alors "ces quartiers italiens dont il t'avait tant parlé. Tu rêvais de les voir, un jour. En attendant, cette lumière t'intriguait et tu semblais avoir de moins en moins d'influence sur ce quartz. Du bruit se fit entendre dans les escaliers, puis à la porte. Déjà debout, tu attendais. A peine entendit-on frapper que tu entrebâillais cette porte en demandant, spontanément et avec détermination :
"Avec qui as-tu couché ?"
12 juin 2010
Intuition et Romance 2.0
J'ai de l'intuition moi Madame, j'ai de l'intuition moi Monsieur.
Naviguer au bon gré de sa souris. Errer dans les méandres d'Internet à la recherche... d'un je-ne-sais-quoi de sensationnel, d'exceptionnel, de vibrant. Regarder les vidéos les plus hype et les trouver ridicules, lire les articles les plus choquants et les trouver fades, ne pas savoir quoi chercher ni où le dénicher. Arpenter les réseaux sociaux : "Pas intéressant". *clic*. "nul, électro-encéphalogramme plat". *clic* , *clic* , *clic* "oui, j'ajoute, mais bon. On verra s'il me fait découvrir des choses" *clic* "R.A.S.", *clic*,*clic* … Aller trop loin. Revenir d'un pas et ...
Je l'ai lu, ce personnage et il m'a plu de suite. Donc je l'ajoute comme "ami" mais c'est tellement ridicule. Et pourtant, j'ai déjà des projets pour nous deux. Ridicule, puéril, inconscient.
Stress : je n'habite pas Paris moi, je viens de la campagne !
"Ouh-là minute Papillon, doucement, même si tu n'y crois pas, il n'est peut-être pas à ton goût !"
Puis je l'oublie, un peu, presque, le temps de quelques mois, le temps qu'il me demande en mariage, puis qu'il me parle, dans cet ordre s'il vous plaît.
Excitée comme une pucelle en rut je le lis et bois ces paroles comme on avale après une pipe bien menée: on s'en délecte, on est flatté, on remercie. Je m'inclinais devant ce personnage haut en couleurs qui méritait qu'on lui fasse une révérence. Je respectais l'homme que je découvrais derrière ce qu'il m'écrivait.. Plus innocent que son personnage, moins noir, plus conventionnel, et à ses moments, je sentais pourtant qu'il vivait ce personnage, en partie. Paradoxal. Comme moi. J'aime même si aucun bouton n'est là pour le lui montrer.
Ce soir là, lui et moi, on a virtuellement arrêté le monde, le temps de faire des projets, de s'enjouer, d'y croire. Lui et moi, le temps de refaçonner le monde, on s'est aimé.
J'ai de l'intuition moi Madame, j'ai de l'intuition moi Monsieur., vous comprenez ? Je ne me trompe pas. Il est merveilleux, on se ressemble beaucoup. On se comprend apparemment et on rêve la même vie. J'aime ses mots qui s'approchent dangereusement de ma fréquence de résonance et me libèrent de ce masque que je porte. J'ai l'impression de lui faire de l'effet, ca me gêne. Plus que l'envie de croquer la vie, j'avais envie de la façonner a mon image, à notre image. 3 heures que nous parlons maintenant. C'est l'homme de ma vie, je suis la femme de la sienne, je n'ai pas de doute, c'est l'évidence.
Quoi ? Vous n'y croyez pas ? Mais, si, regardez, je l'ai ajouté, comme ami je ne me suis pas trompée. On est pareil je vous dis ! Et...on se l'est écrit ! Les mots ont de la valeur, il n'aurait pas dit ca si...
Puis le monde est reparti, le temps s'est débloqué, je ne sais trop comment ni pourquoi me laissant ravagée de l'intérieur tandis que lui semblait indemne. NOUS nous sommes arrêtes laissant le monde nous échapper, vous laissant pour l'instant Madame, vous laissant pour l'instant Monsieur, avoir raison tous deux.
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romance 2.0
Bienvenue
Bienvenue :)
Ce petit blog est pour moi une transition. Un lieu éphémère sur lequel je mettrai mes pensées personnelles, mes nouvelles (le plus souvent des bribes de nouvelles), mes trouvailles et tout ce qui peut me passer par la tête. Le temps pour moi de trouver comment je vais organiser le site définitif pour que tous ces contenus différents que je proposerai soient cohérents et attractifs pour vous.
Je n'attends pas particulièrement que vous me lisiez, mais si vous le faites, de grâce, réagissez ! Que vous aimiez ou non, l'important est que je ne vous laisse pas complètement indifférents. Je n'attends ni des insultes, ni de hauts témoignages d'admiration et d'ailleurs je n'attends rien. J'aimerais simplement quelque chose de plus modestte et de plus ambitieux à la fois. Un espace de découverte mutuel, une fenêtre sur le monde, sur la culture, sur vous et moi.
Au plaisir de vous lire :)
Geekie
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